de l'obstructfraction ou également obfstrucfaction et obvscurvzacion

Les abberations notables d'une pseudo loi sur la confiance dans l'économie numérique.
et autres billevisées (foultitude de directives relatives à la technologie et à l'information) qui accaparent les parlementaires, avec des débats faussements nommés, et de visibles élans de confiscation, en lieu et place de toute utilité.

Quelques remarques d'ordre général, pour montrer, qu'il s'agit en premier lieu, sous le pretexte de faire légiferer, de semer une pagaille, dont les bénéficiaires ont forcément rapport, avec le mot d'ordre donné: la confiance, et en celà qu'il s'agit d'un abus de confiance, et d'une obstruction carractérisée à un débat dont l'utilité sur le fond est loin d'être prouvée, et ou le resultat par la forme est de parvennir à éteindre le débat par des moyens techniques, débat qui serait alors relatif à ces moyens techniques mis en place pour l'empêcher d'être.

Mais vennons en au faits invoqués:

la confiance, l'économie, et les technologies de l'information relatives au technologies "numériques".
et les 3 réunis.
Premièrement, tous ces mots sont mal choisis, car ils sont à mettre en rapport avec d'autres projets de lois, et ainsi forment un pacakage, desquels les parlementaires doivent se dépétrer en des temps records, et déliberer comme si tout celà était de première nécessité, nous démontrerons, qu'il s'agit là délibérément de surcharger de travail ceux-ci, de manière à s'assurer qu'ils ne soient pas à même de remettre en cause, les nécéssités ou non de telles directives, dont il va être intéressant de connaitre de quels brillants énergumèes elles émanent.

Voir les remarques de différents parlementaires sur ce sujet, lesquels sont parfois loin de perdre toute lucidité.
Le plus inquiètant étant sans doute, le silence des socialistes, lesquels semblent oppiner du chef, toute routine étant égale à elle même, ce pragamatisme de bon alloi n'a pas lieu d'être si l'on se donne la peine d'examiner l'invraissemblable objet de ces textes, c'est à dire supprimer la liberté d'expression, et la remettre aux mains des experts, c'est à dire, un blanc-seing pour la désinformation.

Comment la concentration de l'argent, du pouvoir d'informer (ou de désinformer) entre quelques mains, ne vous ammène pas à douter que la philantropie ne soit pas précisément l'essence d'une telle situation, qui spolie manifestement la majorité, des droits de regard sur sa propre situation.

Comment des parlementaires se permettent-il de se croire blasés face à de tels défis, eux qui sont justement là pour représenter l'intérêt des français, et ce pour quoi ils sont là, et élus, et seuls représentants légaux.

Par quel étrange coup de dé se croient-ils impuissants, de faire là, la tâche pour laquelle ils sont payés, proteger l'intéret des concitoyens, permettre leur enrichissement, et par des lois, justes et simples, organiser l'action, et le bon fonctionement de la démocratie, et même il leur est possible d'avoir de l'ambition, pour la France, et son rayonement dans le monde, pour que les vraies valeurs de sa culture, mettent en lumière les hommes, et que la connaissance soit fondée sur le partage des valeurs, et ni la spoliation, ni l'alienation.

Un minimum d'éxigence, messieurs c'est la raison d'être de votre mandat. Et ceux qui appèlent à la prudence, semblent croire en des garanties que nous sommes à même, de qualifier, de provisoires, et ce type d'attitude ressemble à s'y méprendre à ce que l'on appelle communément "la politique de l'autruche", laquelle se retrouve bien vite en cage, si ce à quoi en agissant ainsi, elle à voulut echapper, vise à la captiver.

sur ces quelques remarques passons au fond du débat:


En quoi y aurait-il une "économie numérique" ?
En quoi y aurait-il, un indice même minime que l'économie numérique en tant-que-telle existerai, et necessiterai une éventuelle confiance ?
Voici les produits numériques existants:
Les programmes d'ordinateur
.(Logiciels)
En effet, bien qu'il faille également notter, qu'un bon nombre de produits numériques, en temps que tels, fonctionnels, sont gratuits, et par là même reflètent le soucis, d'un bon nombre de réels créateurs de ces produits, de partager leurs ressources, , les seuls produits, typiquement numériques, et qui puissent faire l'objet en tant que tels, d'un achat, d'une vente, ou encore d'une mise à disposition, sous conditions, par ailleurs parfaitement établies: ce sont les programmes.
Et à ce niveau y a-t-il besoin de legiferer?
A ma connaissance pas spécialement, car tout acheteur de produit numerique suit une procédure établie, en laquelle il n'y a pas specifiquement de problèmes relevés.
Mais puisque la question est posée, voyons plutôt, de quoi il faut proteger le citoyen.

Les problèmes que l'on relève, ceci est un débat plus réel (et je pense nottement aux administrations), sont des attaques à l'espace de la vie privé, par des fabricants de programmes, qui batissent des strategies pour extraire par tous les moyens, des données contenues, dans les ordinateurs des usagers, qu'ils soient des sociétés, des institutions, ou des particuliers.

C'est là un vrai problème, car une source d'espionnage, de sabottage, et de vols de données.Tout le monde aura remarqué le nombre de processus cachés, qu'il faut éliminer constament, pour envisager un minimum de sécurité sous windows.
Il peut être prouvé, que nombre de ces process, transmettent des informations par le réseau sans que l'utilisateur, ne puisse sen rendre compte.
Là il serait nécessaire de légiférer, car notre confiance est trompée, et nous serions bien dupes, de croire qu'il ne s'agit là que d'imprécisions de programmation, il s'agit d'une complexité organisée, masquant des intentions, et ouvrant à un potentiel d'infractions, qui, tant justement, que nous ne nous abbaissons pas à faire confiance, là ou tout nous indique, que c'est de méfiance qu'il faut s'armer, restent des infractions.
Atteintes à la vie privée pour les particuliers, et atteinte à la sureté des données, pour les activités sociales.
Oui c'est là le vrai débat, qui se cache derrière, le mircale, déjà vendu à la grande époque de la spéculation boursière sur internet, lequel à totalement capoté, car le profiling vendu par les marketeurs, aux financiers, est illégal en soi (par conséquent tout moyen mis en place, avant que l'atteinte à la vie privée soit déclarée légale, consiste en une volontée d'instaurer un système que la loi interdit), et que le bon sens réprouve.


Pourquoi les financiers, croient dur comme fer au ciblage, car il permet très simplement avec l'autorisation de l'utilisateur, ou directement vendu comme étant un avantage, de ne faire apparaitre que les informations concernant un domaine dont la personne assume s'y interresser.
L'objet est de pouvoir tronquer, une fois tronquée, l'information n'est plus de l'information, elle devient une fiction.
On appuie celà sur des foultitudes d'offres de produits pratiques, qui reviennent en général à appuyer sur un bouton, et on génère la pensée qui va avec , "la pensée presse bouton".
Tout le monde comme toi aime "blamby"," le concours du plus beau blamby, le blamby du mois, 500000 euros à gagner avec blamby, blamby le film, blamby ceux qui l'on créé, blamby 2 , le retour du blamby, blamby en tournée, blamby le guide d'une génération de blambys, le blamby sur toutes les chaines, le blamby dans tous les débats, le blamby que vous ne pouvez vous offrir, le blamby dont vous rèvez, la sonnerie du telephone blamby, blamby ou l'imaginaire à vendre et à acheter qui vient égayer ta réalité, tragiquement télécommandée, entre deux atrocitées elles aussi télécommandés qui elles ne sont pas blamby, elles ont un autre nom, il ne faudrait pas se tromper voyons.

Bon trève de plaisanteries.
Revennons à nos moutons et à la potion, la savante mixture d'obstructfraction en question.

Nous avons vu, qu'en tant que tels, il n'y avait que les logiciels qui constituaient d'éventuels, produits spécifiquement numériques, et qu'il s'il y avait lieu de qualifier, l'état de cette économie, nous dirions de ce qu'elle a de spécifique, que la méfiance s'impose.

Nous dirions que la protection de la vie privée, et des données, sont gravement menacées, par l'absence de transparence du secteur, et notement d'acteurs monopolistiques, qui arguent incessement de la protection de leurs sources, pour d'une part asphixier les autres acteurs du secteur qui s'appuieraient, de manière plus ou moins forcée, sur la domination d'une plate forme, pour dévelloper des programmes, et d'autre part, dans cette même nécessité de masquer une volonté de contrôle, instaurent des stratégies de "securité" qui se trouvent être à sens unique, le "créateur" (en l'occurence, un simple commerçant dont l'adresse ONE MICROSOFT WAY, en dit long sur son humilité ) s'arrogeant le droit et imposant l'obligation, qu'il puisse intervenir sur les données personnelles, sur le fonctionement du système, sur les relations entre les différents programmes, malgrès les restrictions que tout bon administrateur de réseau, ou simple utilisateur, souhaiterai mettre en place pour proteger ces données.
Celà en ayant d'une part crée un administrateur "Créateur", passant par dessus toutes les autorisations, et d'autre part, en ce qu'il est très difficile, de parametrer les processus cachés ou non de windows, de manière à ce que seules des commandes données par l'utilisateur, activent ou non les process et programmes de son choix. Je met au défit quiconque, d'y parvennir, car si tant est que l'on y parvient à un instant-t, au redemarrage il y a de fortes chances qu'il faille tout recommancer.
On pourrait pour celà faire un concours, pour trouver parmi des novices et éventuelement des experts (auto-proclamés), celui qui parvient à supprimer de son systeme le programme, pin-ball, qui est un programme de "flipper" que personne n'a demandé.A partir d'une installation standard de windows.C'est un petit jeu instructif, qui montre a quel point la complexité est organisée de manière, à ce que l'individu ne puisse avoir la maitrise de son environement, chose à laquelle il serait censé s'habituer, et qui est en général cause d'alienation et à pour conséquence l'extinction.

Ceci étant, cette faille majeure, donne l'occasion à d'autres entreprises éventuellement, de passer par cette faille conceptuelle, pour ne citer qu'elle, et vennir, detruire, abimer, semer trouble et panique, empecher les gens de travailler, et alimenter le marché en produits novateurs, pour parer à ces désagréments.

Ces failles sont inhérantes, à une conception hiérarchique de l'information, necessité conceptuelle, pour exercer une domination et un controle , et faille surtout évidément, quand l'intérêt commun diffère de cet intérêt particulier.

On peut compter parmi les pirates, emeteurs de virus, pornographes spameurs, un certain nombre d'acteurs qui s'attaquent à des institutions gouvernementales, lesquelles ont pêché par éxcès de confiance (pour y revennir) . Notement le ministère des finances et le conseil general du 94, desquels je reçoit contamment des virus, c'est un comble.

Xavier Niel, en prison .
Van Ruymbeke serait-il sur la piste d'un dangereux gangster ? ou y aurai-t-il au ministère de la justice, des intrigants connectés aux sex-shop ? toujours est il, que ceux pour qui "la liberté n'a pas de prix" sont menacés encore une fois, et comme toujours, par les détenteurs auto-proclamés du droit.Il n'y a pas de doute qu'un acteur indépendant et avisé , une personne qui ne sacrifie pas les services, au messianisme de la spéculation idéologique et financière, doit être interrogé, doit être un proxénète...Il faut s'interroger sur la légitimité de son intuition technique et conceptuelle, et du pourquoi du comment, on ose fournir des services et pronner la liberté.Il faut salir absoluement n'est ce pas, car sinon les censeurs, risquent de manquer de sel, tant leur salive est parfumée à la haine et à la stérilité. Il ya tout lieu de s'étonner, que les dépèches de Reuters ne soient pas signées. Il y a tout lieu de s'etonner, qu'elles fassent état d'analyses financières, de banques et d'experts, je n'aui jammais vu la dedans que des speculateurs chevronnés, des fuck-shit, fact sheet , et autres magouilles de décérébrés.Solidaires avec free, solidaires pour la liberté, les complots vont nous montrer qui sont les comploteurs, on va enfin les connaitre, et Baltazar Garzon pourra toujours nous terroriser...on sait que la liberté n'a pas de prix, et que pour certains elle est comptée en sonnante et trébuchante indignitée financière.
Solidaires avec Xavier Niel, contre tous les ignorants, les comploteurs, et les philosophes patentés auto-proclamés penseurs et sinnistres propagateurs de plaies.Contre les experts en obstructfraction, et autres malotrus mal embouchés, contre les consortiums hegeliens, marchands de haine, et poussifs simulateurs de reliogisité, contre les criminels bien pensants et autres spoliateurs diplomés du bas de haine.Contre les tireurs de ficelles, et les indexs pleins de caca qui montrent l'énemi avec leur doigt sales et puants.

Je n'ai pas encore eut le temps de develloper le sujet principal mais aujourd'hui je suis un peu ennervé.Chaque jour fournit de nouveaux arguments, à ceux qui constatent que les faux-démiurges sont déciedément des tricheurs même avec eux-même.

Paris le 29 mai 2004